Juliette: Or, the Ghosts Return in the Spring

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These divergent paths inevitably cross against a gloriously painted backdrop of eccentric small-town living.

Five of the summer’s best and most daring graphic novels

Filled with the dappled brightness of happiness and suffering, Juliette is suffused with all the heartbreaking foibles of us humans and our ongoing quests for love.Cette histoire, qui coule tout doucement, comme le temps et et la vie qui passent, sans trop de bruits ou de grands fracas, de tragédie est faite de souffrances, de silences qui font mal, de rendez-vous manqués et de poésie aussi.

Juliette - Les fantômes reviennent au printemps by Camille Juliette - Les fantômes reviennent au printemps by Camille

Hypocondriaque et anxieuse, Juliette a des nœuds plein la besace, quoi de mieux que de tenter de les défaire au contact de ses racines : les parents, sa sœur Marylou, la grand-mère. First published in French in 2016, Juliette is Jourdy’s eighth book, and the author shows every indication of having found and refined her visual signature to perfection. From here, Jourdy spins out an exquisite soap opera of a graphic novel, a story she tells in both traditional strips – if you’re a fan of Posy Simmonds, you’ll fall instantly in love with these – and in a series of extraordinarily beautiful, Matisse-inspired watercolours of the town where the action takes place (it’s never named, but Jourdy spent her childhood in Dole, near the Jura mountains: think red roofs, geranium-filled window boxes and old-fashioned, slightly louche bars). la grand-mère atteinte de la maladie d'Alzheimer qui retrouve la mémoire quand on s'y attend le moins.

These divergent paths inevitably cross one another against a gloriously painted backdrop of eccentric small-town living. Slowly, Juliette finds herself entangled with the unlikely Georges, a dyspeptic alcoholic who is stuck in his life. Talking is reserved for when we’re really drunk or high, or about to be murdered or something,” says Sammie of male friendships early in Mattie Lubchansky’s “ Boys Weekend. Y luego está ese dibujo algo naif que le va como anillo al dedo a la historia y me encanta, lleno de detalles y color. Scènes de la vie ordinaire : la plus jeune revient passer quelques jours chez son père, rend visite à sa soeur, va voir sa grand-mère chez elle, va voir la maison où sa famille occupait un appartement avant que ses parents ne divorcent, fait connaissance superficiellement avec le nouveau locataire, s'inquiète pour sa propre santé, participe au repas de famille pour l'anniversaire des 12 ans de Simon.

Juliette: Les fantômes reviennent au printemps by Camille Juliette: Les fantômes reviennent au printemps by Camille

Machinalement, Juliette, Marylou et leurs parents se lancent des piques, pas méchamment, les piques habituelles dans une famille, mais qui justement font mal parce qu'elles proviennent d'eux. Soon after her arrival, she meets Georges, a dishevelled loner who spends his time between his squalid flat and the Tropicale bar, where he drinks too much, struggles to win darts tournaments, and picks up women.Jourdy draws with unassuming precision, capturing her characters in simple, crisp lines that never give way to caricature. Georges et l'amant), les scènes vaudevillesques, l'ambiance mélancolique (prises de bec parentales et familiales, maladie d'Alzheimer, solitude, déprime, secrets de famille. Hacemos cosas extrañas por temor y no sabemos si es más por pánico por los demás o por nosotros mismos. For Sammie, what matters in the end isn’t the monstrous world they’re leaving behind but the kinder one they’re speeding toward.

Juliette The Guardian raves about upcoming graphic novel Juliette

After some years devoted to producing children´s works, the author in parallel dedicates part of her time to the creation of her most ambitious work: Rosalie Blum.Quand Polux ouvre la porte de son appartement en rentrant chez lui, le lecteur peut détailler tout le bazar présent dans chaque case : cadre de travers, chaussette solitaire par terre, table basse encombrée par un percolateur et des magazines, téléphone à même le sol, chaussure esseulée, classeurs jetés sous la table basse, calculette, stylo, cendrier pot de yaourt vide, quignon de pain, tout ça sur la table basse. L'artiste met en oeuvre une direction d'acteurs de type naturaliste, et chaque personnage devient émotionnellement très proche et très réel pour le lecteur. Miller, who famously likened even Paris to “a whore,” would presumably have employed a more indelicate term, and, indeed, the original has him instead say “putains. Executed in watercolour and consistently blushing with pigment, Juliette takes us behind the curtains and beneath the sheets. Puis il va s'en jeter un au comptoir et papote avec un autre habitué qui le charrie sur la fois où il l'a vu en robe avec du rouge à lèvres.